Dans le voisinage du sanctuaire, de la place de marché, et de l'esplanade publique, se côtoient plusieurs parcelles d'habitation.
La fouille de l'oppidum a permis de mettre au jour au moins une dizaine d'unités à caractère domestique qui s'insèrent dans un parcellaire régulier établi dès l'origine de la ville. En raison de leur fragilité, les bâtiments ont été presque entièrement arasés par les charrues. Il n'en subsiste souvent que la première assise de fondation : les empierrements de gros blocs de basalte délimitent des sols et des murets en pierre ; les espaces restants sont criblés de tranchées et de trous, correspondant au négatif d'implantation de poteaux et de cloisons en bois. D'autres secteurs, jonchés de tessons d'amphores à vin importées d'Italie, dessinent des sols de circulation : cours, voies ou ruelles...